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    la Place Mazelle devient un Parking couvert !
     “une place à la croisée de la ville, de l'eau et de l'art”

     La Place Mazelle accueille depuis peu un parking-entrepôt fait de tôle grise aux lignes abruptes et qui dénote radicalement avec les courbes de Pompidou ou le fantasme high-tech du prochain Mettis. Le monstre décrié de tous a déjà trouvé des sobriquets à sa juste mesure “boite à chaussures métallique” ; “hangar à Zeppelin”... La municipalité devra trouver de bons arguments pour expliquer un choix aussi déroutant, austère et affreux au possible ! Gageons que çà va devenir beau et réussi car pour 10,5 millions d'euros investis par les commerçants, Florence Mercier a intérêt à faire du bon travail de ses menues mains. Cette paysagiste lauréate du concours a imaginé une croisée de la ville, de l'art & de l'eau. Les façades pourraient devenir un support de projection d'oeuvres d'art comme le fut suggérer à une époque, on n'en sait rien pour le moment.
     
     
     Passé l'esthétique pas très esthétique, le bâtiment répond cependant aux normes d'aujourd'hui en terme d'écologie puisqu'il est fait entièrement de béton et d'acier ; une ventilation naturelle ; un éclairage naturel lui aussi -en journée- et un chauffage limité aux espaces de travail.

     
     
     
     
     Avec le nouveau parking Paixhans (410 places) , cette nouvelle version de la Place Mazelle (270 places) renommée Parking Mazelle, y compris sur la signalétique verticale, est située à l'enjambement du quartier outre-seille, des Arènes et de la Gare SNCF
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    sur cette photo : Florence MERCIER
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Franck Schweitzer
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  •  Pardon à la centaine de visiteurs réguliers de mon blog (lol) dont le nombre, j'espère, va rapidement augmenter, pour mon retard quant aux photos du marché de Noël que j'avais promis de poster, et c'est pas faute d'avoir essayé... car ceci est ma confession : A ma décharge, l'hiver extrême que nous vivons et qui bloque la ville pour ainsi dire y compris la fréquentation des marchés de Noël, à rendu impossible toutes tentatives de déplacement de ma part, sans compter que le plaisir et la motivation n'étaient pas au rendez-vous. Travaillant de nuit 5 jours sur 7 dans un hôtel près de la Gare, (y compris les 24 et 25 décembre) je suis pourtant au beau milieu de cette fourmilière de personnes, d'illuminations et de manifestations en tout genre ; je n'ai pas pu en profiter moi-même, alors en faire profiter les autres... C'est simple, depuis début décembre j'hiberne ! Le temps qu'il me reste, je fais de mon mieux pour mettre mes blogs à jour : acheter la presse, se documenter, rédiger les articles... prends du temps !

    Je travaille actuellement sur un dossier complet du 40e anniversaire de l'Université, ainsi que l'actualité du CPM, le réaménagement de la place Mazelle enfin à un projet de partenariat inter-blog et deux nouvelles rubriques pour l'année à venir. 2011 plaçée sous le signe de l'ouverture, des rencontres et de la communication... See you


    Franck Schweitzer.

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    45e numéro de l'excellent Philosophie Magazine (élu magazine de l'année 2010) ; pour des raisons personnelles qui me regarde, je suis fan du thème de ce dossier "la famille est-elle insupportable ?" çà révèle tant de choses et c'est tellement vrai le plus souvent...
    J'aime beaucoup de mensuel dont le but premier a été de dépoussiérer l'image vieillotte de la discipline philosophique et de vulgariser la pensée au travers de l'actualité politique et de consommation, avec le plus souvent de très intéressants articles pouvant êtres compris et lus de tous ; une mise en page aérée et agréable sans jamais tomber dans la facilité ; les illustrations notamment celle de la première de couverture toujours décalée et très recherchée pour un prix honnête de 5.50€.  Je dis Bravo !
     
    Franck Schweitzer.
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     Secrétaire puis rédacteur en chef du journal des étudiants en Philosophie “le jardin” entre Janvier 2003 et Mai 2005 j'ai eu le privilège de travailler aux côtés d'ami(e)s et de professeurs autour d'un petit journal étudiant bien sympathique mais qui nous a demandé énormément de travail de recherches, de démarches administratives... Les rubriques étant posées dès le début le plus dur a été de tout mettre en pratique, dénicher les personnes susceptibles d'écrire un petit quelque chose, de leurs modestes contributions en est sortis le plus souvent de belles envolées, catharsis, poésies et autres analyses philosophiques.

    Je vous propose aujourd'hui quelque-unes de mes contributions personnelles, de ces textes qui encore aujourd'hui restent inédits et exclusifs, la première fois depuis ce feu journal d'étudiant Le Jardin, où ils retrouvent ici une seconde vie... sur l'espace virtuel, sur mon blog : les esprits s'échappent, les écrits restent !

     

    Prologue

    La poésie : Forme d'expression libre ou structurée destinée à faire passer des émotions aux amoureux des Lettres et à tenter de convaincre les plus réticents ; un moyen de se purger ; une écriture qui tient debout bien en place et qui suggère les choses... naturellement. Discipline controversée, qui se rapproche parfois de l'exercice philosophique pour le côté intellectuel, où le mental et l'âme ne font plus qu'un, pouvant ainsi voir grandir toutes sortes de grimaces stylistiques ; on broie, on triture, on tire, on retend : pour extraire le maximum de jus poétique. La substance même de ce que l'on appelle la métaphore.

    Donner son avis, exprimer ses choix à travers des métaphores pour être sûr de penser sans prendre de risques. Lorsque la poésie joue avec le double sens, il peut y avoir danger : surtout si la pensée est trompée par cette figure de style. L'on se plait à dire qu'il y a métaphore en rapport & rapport en métaphore : de jeux de mots en jeux de pistes, on arrange, on invente sans arrêt histoire de faire passer la pilule et ainsi renouveler le genre en un sens.

     

    Dans mon jardin d'Eden

     

    dans mon jardin d'Eden

    je coule des jours interdits

    à l'abri des adventies

    à toutes les fleurs je dis “oui”

    je te sens bien seule

    sous ton saule pleureur

    la larme à l'oeil

    une épine dans la gorge

    je veux partager le fruit défendu

    tu suspens tes pensées et goutte

    je te mets au vert et j'écoute

    tes cris sans thèmes, tu devines le Paradis.

    Numéro 0 du Jardin “dossier la guerre”, juin 2003, 16 pages, gratuit

     

     

    L'amour amor

     

    l'amour est enfant d'Eros : il n'existe qu'au travers du jugement porté sur autrui. Par intérêt ou par passion il détruit tout sur son passage. Le temps, les mentalités, les on-dit font de l'amour un poison qui conduit à la mort. Comment espérer encore aujourd'hui un amour pur et sincère ? Que celui qui se dit aimer comme cela s'arrache le coeur sur le champ.

    L'amour est enfant de Dionysos : lorsqu'ivresse et volupté se font la part belle au sexe fort, il devient excitant de s'abandonner à quelques folies charnelles. Que celui qui se dit ne pas aimer de cette manière tire sa révérence sur le champ.

    L'amour est enfant d'un zeste d'humour : Quand le père embrasse sa fille délicatement, tendrement, qu'il lui chuchote des mots doux au creux de l'oreille, sous les draps ou dans ses bras. Que celui qui se rend coupable de telles choses, ne soit libéré sur le champ.

    L'amour à mort ; lorsque le phantasme devient passion morbide, l'homme est prêt à tout pour s'entacher les mains de quelques gouttes de sang pour quelques gouttes d'eau versées par sa belle... Qu'en est-il de cet amour ? Il est vain et périra pour les yeux d'une ombre croisée dans d'autres circonstances. Que celui qui aime ainsi ne souffre que pour lui-même et se taise à jamais.

     

    Numéro 1 du Jardin “dossier l'amour”, février 2004, 34 pages, 1€

     

    couleur, non merci

     

    Dans le monde tel que nous le supportons, le trop-plein de couleurs nous assome. Cette surabondance se révèle parfois confuse, parfois irritante. Prenons par exemple le rouge, on hésite à lui donner une connotation propre : Amour ? Censure ? Sang ? Placez un individu dans une pièce dont les murs sont entièrement peints en rouge, il se révèlera aggressif au bout de quelques minutes seulement. Si cette même pièce était verte ou bleue, son comportement serait tout le contraire : calme et reposé. La couleur possède un réel pouvoir sur l'état d'esprit de la masse et les publicitaires et autres avatars médiatiques le savent bien et en abusent.

     

    Qu'y a-t-il de plus beau que de s'émerveiller devant le spectacle d'un feu de cheminée, notre affect est motivé de même voire triplé s'il s'agissait d'un incendie ; pour l'exploitation de la couleur c'est pareil. Là où son influence est la plus terrifiante se trouve être dans le domaine du textile, telle couleur devient à la mode grâce ou à cause de l'intervention du manipulateur-média. Qui peut se vanter n'avoir jamais porté de vert kaki ou de jaune poussin sous prétexte de faire comme les autres. Qui serait assez fou pour ne pas être à la mode voyons ?! Ne pas entrer dans le moule se résume à être rejeté car dans une société d'apparence comme la nôtre, le superficiel et l'éphémère sont les rois et quiquonque s'oppose à leurs lois se verrait ignoré.

    Laissons un instant de côté les pays industrialisés : les peuples indigènes d'Afrique par exemple ne se posent pas ce genre de question. Ils ont compris même inconsciemment que le vêtement n'était pas nécessaire à la survie de tout les jours, même avec un niveau de vie misérable, ils travaillent sans se soucier de leur apparence car ce sentiment n'existe tout simplement pas chez eux.

    Le jour où nos compatriotes sauront différencier être et paraître, un grand progrès sera fait et nous pourrons peut-être voir plus loin que nos si jolis petits nombrils.

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    L'âme en peine

     

    Il est 13 heures nous sommes vendredi et je viens de me lever, réveillé par un cauchemar sans fin où je me voyais mort. Le temps semble s'être arrêté. Je sors rapidement de chez moi en passant la porte, me retrouve dans une rue, seul dans cette rue déserte mais il me semble reconnaître une ombre au loi qui me salut... Je lui rend la pareille. L'ombre se retourne et disparaît au loin. Je déambule dans cette rue déserte, je m'y sens bien.

     

    Tout le monde me sourit en fermant les yeux mais je ne reconnait personne, pourtant je leur rend UN sourire en fermant les yeux à mon tour A ma droite se trouve une ruelle assez sombre, je me sens bien. J'aperçois deux fillettes toutes de blanc vêtues jouant à la marelle, au ralenti. Elles se chuchotent des mots à l'oreille, l'une d'elle lui lèche la joue de sa langue bleue et me fais signe de la main. Elle est très sombre cette rue à présent, je m'y sens bien.

     

    Une vieille dame en noir s'approche, les cheveux dans le visage et pieds nus. Je n'aperçois de son visage qu'une bouche édentée. Elle s'approche encore un peu et semble léviter, je lui souris. Elle s'efforce de prononcer des mots que je ne comprends pas car le seul son qui sort de sa bouche n'est qu'un long “mmmmmmmmmmmm” je me sens bien. De ses mains sortent de petis asticots mais d'un air désolé je lui fais comprendre que je n'ai pas d'argent sur moi. Les “mmmmmmmmmm” se font de plus en plus intenses et résonnent maintenant dans ma tête, le ciel s'assombrit et j'ai peur.

     

    En arrivant chez moi, je me précipite dans ma chambre à la recherche de mon portefeuille. J'aperçois sur le lit un jeune homme endormi qui me ressemble ; m'éloignant, je tends ma main vers le corps, je ne peux même pas le toucher. Il est 13 heures nous sommes vendredi et je viens de me lever, réveillé par un cauchemar sans fin...

     

    Numéro 2 du Jardin “dossier arts & esthétique”, juin 2004, 38 pages, 3€

     

     

    Voici un texte pas aussi innocent qu'il n'y paraît ; voyez vous-même. Après l'avoir lu une première fois, il est vivement conseillé de le relire mais cette fois-ci, une ligne sur deux.

     

    Je suis très émue de vous dire que j'ai

    bien compris l'autre soir que vous aviez

    une envie folle de me faire

    danser. Je garde le souvenir de votre

    baiser et je voudrais que ce soit par

    amitié que l'on se fixe rendez-

    vous. Je suis prête à vous montrer mon

    affection désintéressée et sans cal-

    cul et si vous voulez me voir ainsi,

    mon âme frémissante et pour ainsi dire

    toute nue, rendez-moi visite

    nous causerons entre-amis. Franchement

    je vous prouverai que je suis la femme

    sincère, capable de vous offrir l'affection

    la plus étroite et la plus profonde

    amitié, en un seul mot la meilleure épouse

    dont vous puissiez rêver puisque votre

    coeur est libre, pensez que la solitude qui m'ha-

    bite est longue, bien dure et souvent très

    pénible en y songeant bien, j'ai la tête

    grosse, accourez vite et venez me la

    faire oublier car mon amour me fera soum-

    mettre complètement.

     

     

    Numéro 3 du Jardin, mars 2005, 48 pages, 2€

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     Un mois de décembre 2010 historiquement glacial on l'a déjà dit et le Centre Pompidou n'y a pas échappé. un abondant amas de neige s'est entassé dans l'un des “entonnoir” qui permet l'évacuation de l'eau de pluie et a provoqué une déchirure de la toile au niveau de son chapeau, d'une longueur de 2 mètres. La même chose s'est déjà produite quelques semaines auparavant et ce second accroc inquiète réellement le plus grand nombre et délie les langues de vipères -néanmoins plus réalistes- qui sifflent depuis des mois “on vous l'avait bien dit !!”

    Metz-Métropôle et la direction du CPM se veulent rassurants ; en effet rien ne laisse supposer d'une remise en cause de la stabilité de la charpente mais il reste le problème de l'étanchéité : Des fuites pourraient avoir des conséquences directes sur les galeries elles-mêmes car le béton n'est pas étanche, lui ! Le débat est lancé : Pompidou a-t-il besoin d'un vrai toit ?

     

    ...et maintenant le timbre

    J-Bernard Normand, Président de la S.H.S. A réussi avec pas mal de difficultées à obtenir l'autorisation de publier des timbres à l'effigie du Centre. La chose n'a pourtant pas été gagné d'avance car les deux papas du musée Jean de Gastines & Shigeru Ban ne veulent pas que l'image de leur bébé soit galvaudé et vulgarisé dans une démarche commerciale (cartes postales, pin's, t-shirts...) pour sacrifier à la mode. Une réaction tout à fait louable. www.metz-shs-fr

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    COUP DE GUEULE contre LCI en ce samedi 11 décembre où était diffusé des extraits du discours de la Première Secrétaire du P.S. Martine Aubry lors de la Convention Nationale sur l'Egalité Réelle. Incidents Techniques disait-on, à plusieurs reprises le discours d'Aubry a été coupé pour laisser la place à autres actualités et coupures publicitaires qui elles... n'ont pas connues la moindre anicroche ! Honteux.
     
    Franck Schweitzer
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     500,000 visiteurs en quelques mois seulement, le Centre Pompidou-Metz totalise un record jamais espéré, si bien que l'exposition “chefs-d'oeuvres” est prolongé jusqu'au 17 janvier 2011 (date de fermeture de la troisième galerie) quant aux trois autres espaces, ils fermeront l'un après l'autre d'ici l'été 2011 pour laisser la place à d'autres manifestations. Pour rappel, sont exposés quelques 800 oeuvres issus majoritairement du musée Beaubourg de Paris.

     

    Prochaine conférence le 15 décembre 2010 : “Initiation à l'histoire de l'art au Xxe siècle : DADA” par Laurent LeBon entrée 5€ lieu et durée : Auditorium / 90 minutes.

    Comment “DADA” s'empare-t-il de la culture de la machine et des nouveaux médias... soumis aux critiques de Marchel Duchamp, Max Ernst, Hans Arp ou encore Françis Picabia

     

    NEWS :

    * Pour plus de visibilité, Pompidou a trouvé ses voies d'affichage sur l'autoroute, ce processus est entamé depuis 2006 sur l'A4 et l'A31 en direction de Metz.

    * Le Centre Pompidou désormais en application I-Phone (appli entièrement gratuite) et téléchargeable sur Apple Store ; elle permet de découvrir l'exposition en trois langues : français, anglais et allemand.

     

    INFORMATIONS ET RENSEIGNEMENTS :

    le C.P.M. est ouvert les LUNDI & MERCREDI de 11h à 18h ; JEUDI & VENDREDI de 11h à 20h ; SAMEDI de 10h à 20h ; DIMANCHE de 10h à 18h ; fermeture hebdomadaire les MARDIS !

    03/87/15/39/39 centrepompidou-metz.fr/

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  • On a du mal à se souvenir comment était la place de la République avant le monumental chantier qui a bloqué l'hyper-centre pendant des mois...  Eh bien c'était un grand parking aérien plein de béton, bondé de voitures le plus souvent et dont les alentours étaient parsemés de grands arbres... Alors c'était mieux avant ?? nooooonnn ! A voir le résultat aujourd'hui, on se dit pourquoi cela n'a pas été fait avant ? On a dû payer davantage d'impôts c'est clair mais le résultat en vaut la chandelle. Petit retour en photos sur ce qu'était la Place de la République !

     

     

     
     
     
     
     
    photos vues sous différents angles (avenue Schuman ; avenue Churchill)
    scans écran depuis le site (c) google maps
     
    Franck Schweitzer
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  • DU 20 NOVEMBRE AU 29 DECEMBRE 2010 avec la participation de la Fédération des Commerçants de Metz

    FEERIE DES MARCHES DE NOEL A METZ

    en attendant les photos... Demandez le programme :

    LE MARCHE DES TRADITIONS Place Saint-Louis du 20 nov au 29 déc de 10h à 20h en semaine et jusqu'à 21h les samedis (stands des artisans ; vin chaud, crèpes&gauffres...)

    LA BOITE AUX LETTRES DU PERE NOEL AU COEUR DU VILLAGE DE PINOCCHIO au Forum Saint-Jacques du 20 nov au 24 déc de 10h à 12h30 et de 13h30 à 19h (boite aux lettres ; présence du père noël ; petit train ; photo-souvenir)

    LA CRECHE GEANTE AU PIED DE L'IMMENSE SAPIN DES VOSGES Place de la Gare du 20 nov au 29 déc de 10h à 20h (immense sapin de noël ; crèche géante ; train à vapeur)

    LE VILLAGE SOUS LES ETOILES & SON CHALET DE DECORATIONS DE NOEL Place Saint-Jacques du 20 nov au 29 déc de 10h à 20h en semaine et jusqu'à 21h les samedis (20 chalets proposant de l'artisanat ; le grand chalet dédié aux décorations ; le carroussel)

    LA GRANDE ROUE ET LA PATINOIRE Place de la République du 20 nov au 29 déc de 10h à 20h en semaine et jusqu'à 21h les samedis. /! Grande roue et patinoire restent ouverts tout l'hiver !!

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     www.mesenviescadeaux.fr/

    Comment créer des listes d'envies Kdo pour les grandes occasions : Anniversaires ; Mariages ; Naissance ; Noël.

     

    Le Calendrier de l'Avent : l'avant... et l'à venir

    02 : M-Anne Chazel à “la scala” de Thionville pour présenter son dernier film “bienvenue aux Edelweiss”

    03 : Exposition du photographe J-Luc Tartarin à l'Arsenal et au Musée de la Cour d'Or

    04 : 24e édition du Téléthon organisée par les Sapeurs Pompiers

    06 : Dessin animé sur le passé moyen-âgeux de la villediffusée dans la salle des thermes

    07 : La personnalité de l'année 2010 dévoilée

    08 : Scéance d'autographe de Nikos Aliagas au marché de Noël de Thionville

    09 : Le chanteur Kaolin en concert aux Trinitaires de Metz

    10 : “la forêt des bouquinistes” Place de Chambre à Metz

    11 : “plaisir des saveurs” Chapiteau sur le parking de la Maison des Agriculteurs (découverte de produits du terroir)

    12 : Exposition de jouets anciens à l'Abbaye des Piémontrés à Pont-à-Mousson

    13 : Exposition photo de Abdelhamid Aouragh à la Maison de la Culture et des Loisirs de Metz

    14 : Spectacle de Cirque à la Salle Braun de Metz

    15 : Conférence autour de Darwin à SUPELEC

    16 : Eddy Mitchell en concert aux Arènes de Metz

    17 : Football au Stade St-Symphorien

    18 : Dany Boon présentera son nouveau film au Kinepolis de St-Julien-les-Metz

    20 : “la périchole” à l'Opéra-Théatre de Metz

    21 : Spectacle de claquettes à la Passerelle de Florange

    22 : Parcours en sons et images aux Jardins fruitiers de Laquenexy

    23 : Atelier création autour du tricot, tissage, pliage... avec 30 créateurs au Pôle Bijou-Galerie

    24 : Messe de Noël à la Cathédrale Ste-Etienne de Metz

     

    FRANCK SCHWEITZER

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