• période de grand froid

    Selon meteofrance, une période de grand froid venu de Russie s'abat pour minimum, une semaine sur nos pays, dont la France !

    La métaphore est belle mais ça laisse présager le pire quant à l'avenir géopolitique de l'UE et du Monde

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  • CATHEDRALE ST JEAN-BAPTISTE

    Edifice construit entre 1324 et 1509. En 1324, alors que Perpignan était la capitale du royaume de Majorque, le roi Sanche lança le chantier du nouvel édifice qui, s'il n'était pas la cathédrale en titre du diocèse, n'avait pas moins l'ambition de le devenir. Le chantier lancé en 1324 ne connut une activité soutenue que durant moins de vingt ans. Dès 1344 en effet, ce fut la fin du petit royaume, et quatre ans plus tard, les ravages de la peste noire mirent un coup d'arrêt à l'entreprise. Pendant plus de soixante ans, le chantier n'avança que très peu ou pas du tout. C'est au début du xve siècle que la construction reprit, sous l'impulsion de l'administrateur du diocèse. C'est au cours la première occupation française du Roussillon, entre 1490 et 1493, que le sanctuaire fut voûté. La première messe fut célébrée en 1504, alors que l'édifice était solennellement consacré le 16 mai 1509.

    La cathédrale actuelle est de style gothique méridional : large nef unique (80 mètres de longueur, 18 de large, 26 de hauteur). La façade occidentale ne semble pas avoir été achevée. Lors des restaurations des xixe et xxe siècles, une fenêtre de style gothique percée dans la façade remplaça la grande baie rectangulaire que l'on peut voir sur d'anciennes cartes postales. Le porche, ainsi que l'actuelle tour de l'horloge, furent établis au xviiie siècle.

     

    Attenant au côté sud de l'édifice, le « Campo Santo » (ou cloître Saint-Jean) était le cloître funéraire de la cathédrale. Il est d'ailleurs la plus ancienne construction de ce type subsistant en France. Sa construction débuta selon toute vraisemblance au tout début du XIVe siècle. Après la Révolution, des constructions parasites vinrent se greffer sur l'édifice, qui fut alors sévèrement endommagé. Il fallut attendre 1984 pour que la décision fût prise par le conseil général des Pyrénées-Orientales de dégager l'emprise du cloître. La restauration s'acheva en 1991. La chapelle funéraire s'ouvre dans le côté est. Les galeries à claire-voie qui entouraient le cloître ont disparu au cours du XIXe siècle, les constituant ayant été retrouvés et transportés au couvent des Minimes pour les entreposer.

    La cathédrale est dotée d'un carillon de 46 cloches fondues en 1878. Le carillon est installé dans le clocher de l'église Saint-Jean-le-Vieux, mitoyen de la cathédrale. En 1996, le carillon, propriété de l’État, a été restauré. Depuis, les carillonneurs nommés par ordonnances épiscopales, sont chargés de mettre en valeur cet instrument, tant sur le plan cultuel que culturel. Ce carillon constitue le deuxième ensemble campanaire de la région Languedoc-Roussillon après celui de l'église Saint-Vincent de Carcassonne. Couvrant quatre octaves, le carillon est doté d'un clavier de type « coup de poing » permettant de jouer des airs traditionnels profanes ou religieux. Outre lors des grandes fêtes religieuses, le carillon est régulièrement utilisé, notamment le samedi après-midi. Parmi ces quarante-six cloches, quatre peuvent sonner en volée (rétro-équilibrée). Le carillon est classé Monument historique en 1990.

    La cathédrale est également dotée d'un petit carillon pour l'horloge, situé dans un campanile en fer forgé au sommet de la tour du beffroi, sur la droite de la façade principale. Les cloches sont sonnées par tintements. Le bourdon mesure 202 cm de diamètre et pèse près de 5 tonnes, fondu en 1418 c'est une des plus anciennes et des plus grosses cloches de la région.

     

     

    © wikipedia

     

    LA CATHEDRALE ST JEAN BAPTISTE

    LA CATHEDRALE ST JEAN BAPTISTE

    LA CATHEDRALE ST JEAN BAPTISTE

    LA CATHEDRALE ST JEAN BAPTISTE

    (c) clichés perso. Franck Schweitzer

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  • Mairie de Perpignan / salle des Mariages / cour intérieure

     

    Mairie de Perpignan / salle des Mariages

    Mairie de Perpignan / salle des Mariages

    Mairie de Perpignan / salle des Mariages

    Mairie de Perpignan / salle des Mariages

    (c) clichés perso. Franck Schweitzer

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  • Théatre de l'Archipel

     

    le théatre de l'Archipel

     

    le théatre de l'Archipel

    (c) clichés perso . Franck Schweitzer

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    PALAIS DES CONGRES

    la Palais des Congrès

    la Palais des Congrès

    ci-dessus (c) cliché perso

    la Palais des Congrès

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  • La Casa Xanxo est une demeure gothique datant du début des années 1500 construit dans le style catalan de l'époque par Bernat Xanxo, riche marchand drapier. Elle se compose alors d'un bureau et une boutique au rez-de-chaussée, tous les deux remarquablement voûtés, une salle de réception au premier étage, un étage sous comble et une cave pour entreposer les marchandises. Enrichi d'éléments de la première Renaissance, la façade sur rue avec son riche décor. Les transformations et l'agrandissement de la demeure datent certainement du temps de son occupation entre 1794 et 1920 par la Loge maçonnique "Le Cercle de l'Union", et plus précisément entre 1820 et 1913. La grande salle d'apparat du premier étage avec ses boiseries est aménagée à la fin du 19e siècle ; sa cheminée néo-gothique monumentale date de 1873. La deuxième ligne de plan ouvrant sur le jardin peut dater d'une période comprise entre 1839 et 1913. Les deux baies du premier étage sur la façade principale ont été ouvertes entre 1820 et 1913, détruisant en partie la frise. Le portail d'entrée est en marbre sculpté et à mi-hauteur, une frise évoquant les Sept péchés capitaux, reliées par une corde, tandis qu'au centre un crâne représente le passage de la vie à la mort. L'ensemble de la bâtisse a traversé les âges, seul le XVIIIe siècle verra la construction d'un escalier monumental. Malheureusement l'agrandissement de fenêtres en façade seront à l'origine de la disparition d'une partie de la frise. En l'an 2000, par préemption, la ville devient propriétaire.

     

    (c) wikipedia

    (c) culture.gouv.fr/

     

    la Casa Xanxo

    la Casa Xanxo

    la Casa Xanxo

    clichés pris par Franck Schweitzer

     

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  • CENTRE VILLE DE PERPIGNAN 

    dans la vieille-ville, un marché...

    clichés du centre-ville de Perpi

    clichés du centre-ville de Perpi

    clichés du centre-ville de Perpi

    le cinéma "castillet"

    clichés du centre-ville de Perpi

    clichés du centre-ville de Perpi

    la fnac

    clichés du centre-ville de Perpi

    clichés du centre-ville de Perpi

    clichés du centre-ville de Perpi

    clichés du centre-ville de Perpi

    clichés du centre-ville de Perpi

    clichés du centre-ville de Perpi

    clichés du centre-ville de Perpi

    théatre municipal

    clichés du centre-ville de Perpi

    le tribunal d'instance

    clichés du centre-ville de Perpi

    clichés du centre-ville de Perpi

     

    (c) tout droits réservés. Clichés de Franck Schweitzer

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  • LA GARE de PERPIGNAN

    Le chemin de fer arrive à Perpignan, en 1858, avec l'ouverture au trafic de la voie ferrée de Narbonne à Perpignan, première section de la ligne de Narbonne à Port-Bou. Lors de sa mise en service, les trains s'arrêtent dans une station terminus provisoire établie au Vernet, en attendant la fin de la construction du pont sur la Têt. Une première traversée du pont a lieu le 10 juillet et le même mois la décision est prise pour la création d'une gare proche de la ville. Les premiers bâtiments sont construits provisoirement en bois.

    En 1860 on ouvre la route départementale 8 bis, pour faciliter la liaison avec la ville et son centre, cela favorise des constructions d'habitations implantées sans autorisation autour de la gare et le long de la route. Pour organiser l'urbanisation, la ville établit un plan d'alignement du quartier mais les servitudes militaires et les remparts sont un frein au développement pourtant encouragé par des réalisations de voirie comme le tunnel piéton réalisé sous le remblais pour faciliter la relation avec le quartier Saint-Assiscle.

    Elle devient gare de passage, lors de la mise en service, le 21 mars 1866, du prolongement de la ligne jusqu'à Collioure, par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne. Les travaux de construction de se prolongement ont été financés et réalisés par l'État, du fait de son importance estimé plus stratégique qu'économique.

    Une ligne à grande vitesse est construite entre le 15 novembre 2004 et la mise en service du tronçon Perpignan-Figueres le 19 décembre 2010.

    Dans l'attente de l'ouverture de la ligne nouvelle vers l'Espagne, la ville s'est lancée dans le projet de rénovation du quartier historique de la gare : Le projet consiste en un nouveau bâtiment, tout en conservant l'ancien, en cours de travaux de rénovation, une gare routière et un nouveau quartier d'affaires. Le projet est terminé en 2011. L'ouverture de la ligne vers Barcelone est en service commercial depuis le 15 décembre 2013.

    En 2014, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare était de 1 534 080 voyageurs.

     

    La gare & Dali

    Salvador Dalí considérait la gare de Perpignan comme le lieu privilégié de son inspiration : « C'est toujours à la gare de Perpignan […] que me viennent les idées les plus géniales de ma vie […] L'arrivée à la gare de Perpignan est l'occasion d'une véritable éjaculation mentale qui atteint alors sa plus grande et sublime hauteur spéculative […] Eh bien, ce 19 septembre, j'ai eu à la gare de Perpignan une espèce d'extase cosmogonique plus forte que les précédentes. J'ai eu une vision exacte de la constitution de l'univers. L'univers qui est l'une des choses les plus limitées qui existe serait, toutes proportions gardées, semblable par sa structure à la gare de Perpignan. »

    À partir de 1960, Dalí se référa à plusieurs reprises à la gare comme « centre cosmique de l'univers », entre autres formules. En retour, la rénovation de la gare effectuée au début du XXIe siècle intègre plusieurs éléments de l'univers du peintre : le plafond du hall est peint dans son style et le dallage posé devant la station s'inspire du tableau La Gare de Perpignan. Le centre commercial créé à cette occasion a été baptisé el Centre del Món.

    (c)wikipedia

    la Gare "el centre del mondo"

    la Gare "el centre del mondo"

    la Gare "el centre del mon"

    la Gare "el centre del mon"

    la Gare "el centre del mon"

    la Gare "el centre del mon"

    (c) tout droits réservés. clichés pris par Franck Schweitzer

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  • Plan(s) de la ville de Perpignan par quartiers, places et lieux remarquables

     

    intro / ma petite semaine dans le sud II

    Ci-dessus, les quartiers que je n'ai pas visité sont symbolisés par une croix rouge

    QUARTIER GARE

    intro / ma petite semaine dans le sud II

     

    QUARTIER NOUVEAUX BOULEVARDS

    Des enceintes successives fréquemment remaniées ont enfermés la ville dans d'imposantes fortifications dont il ne reste aujourd'hui que de rares vestiges. En 1904 un promoteur détruit les remparts nord. Cette perte considérable transforme la ville en libérant des terrains à urbaniser ; de vastes places se substituent aux vieilles portes et sont reliées par une ceinture de boulevards. Les espaces libérés amplifient la capacité du centre-ville à accueillir équipements modernes, commerciaux et culturels : Les allées maillol (autrefois appelées promenade des platanes) représente le plus ancien espace vert de Perpignan ; depuis 1970 l'imposant Palais des Congrès s'y élève.

    intro / ma petite semaine dans le sud II

     

    QUARTIER REAL

    le quartier de la réal s'étend d'est en ouest et se développe à partir de 1228. A cette date, le don de terrains ouvre une période de concessions qui se poursuit jusqu'aux environs de 1260. L'église Notre-Dame de la Real est construite au XIVe et Charles Quint y ajoute le couvent royal Ste-Claire construit à ses frais. A côté, le palais des rois de Majorque construit de 1274 à 1344 témoigne de cette brève monarchie majorquine. Une imposante citadelle fut édifiée tout autour durant l'occupation française (1463-1493) remaniée au XVIe siècle par les rois d'Espagne et modernisé par Vauban au siècle suivant. Les ouvrages extérieurs ainsi que les remparts sud, ont disparus dans les années 1930.

    intro / ma petite semaine dans le sud II

     

    QUARTIER ST JACQUES

    situé sur une colline le Puig, ce quartier a été créé par les rois d'Aragon dans l'intention d'y étendre la ville. Il constitue l'une des trois nouvelles paroisses du XIIIe siècle. Il devient le quartier juif appelé « call » puis attire les tisserands, les jardiniers et au XIXe siècle, les ouvriers de l'usine de papier à cigarettes Job. Le quartier St-Jacques est fortement marqué par cinq couvents successivement installés mais il conserve aussi de belles empreintes de l'occupation militaire.

    intro / ma petite semaine dans le sud II

     

    QUARTIER ST JEAN

    Perpignan apparaît dans les textes à partir de 927. fin Xe, le comte de Roussillon s'y installe. Pour répondre à la fonction de capitale, la ville se développe autour de son noyau primitif. Dès la fin du XIIIe, elle est insérée dans une vaste enceinte dont le Castillet. Au cours du Moyen-Age, le cœur de la cité concentre pouvoirs religieux, politique et économique.

    intro / ma petite semaine dans le sud II

     

    QUARTIER VILLE NEUVE

    Fin XVIIe, Vauban fait construire la muraille le long de la Basse, afin de renforcer le point de plus vulnérable de la Défense. Cependant ces fortifications restèrent inachevées. Au milieu du XVIIIe siècle, des jardins dans les bastions y sont aménagés. La ville neuve stagne ; son développement devra attendre le Second Empire et les travaux autour du vieux rempart, du quai sud et de la place Arago. Le XXe siècle verra se construire le premier Paladium et au même moment la destruction des remparts renforce la fonction commerciale du quartier, devenu le trait-d'union entre la gare et le centre-ville. Depuis 2011 le théatre de l'archipel et les commerces environnants, ont donnés un ouvre élan à ces quartiers.

    intro / ma petite semaine dans le sud II

     

    (c) la brochure de l'office du tourisme

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