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    Pour ceux qui ne savent pas, ce film en deux parties racontera les évènements ayant eu lieu avant le premier épisode de la trilogie LE SEIGNEUR DES ANNEAUX de Peter Jackson.
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    Jacques Capelovici est décédé à l'âge de 88 ans et c'est tout un pan de la langue française qui le pleure. L'homme amoureux des mots, à cassé sa plume ; c'est une figure populaire qui s'en va. Sa gouaille et ses expressions vont nous manquer...;(
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    BLEU NOIR

     

     http://www.ozap.com/actu/clip-mylene-farmer-bleu-noir-olivier-dahan-video/404868

     

    Les + : Mylène toujours belle, souriante, timide, enfantine, jouant à cache-cache / le décor de fond bien travaillé sur différentes ambiances

    Les - : On pouvait attendre un peu plus d'effort quand à la réalisation, le scénario et la mise en scène / le paysage défile mais Mylène marche (ou fait semblant de...) sur un tapis roulant / Mylène pas très habillée si on se laisse naivement prendre au jeu d'un décor extérieur (cet hiver il a fait froid quand même) mais comme dit précédemment, çà a été fait en studio, donc...

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     James BLUNT sera en concert le 07 mars 2011 au Galaxie d'Amnéville pour promouvoir son nouvel album entres-autres... Mais qu'est-ce-que c'est que cette affiche ? Où sont passé cheveux longs, barbe, embonpoint et bonnet rouge ? Aaah non, pardon... je dois confondre ; mais rendez-nous le James Blunt au look S.D.F. Que nous aimions tant.
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    MIS A JOUR LE 19/11
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     Elle est là où on ne l'attendait pas ! Alors que beaucoup imaginaient que Mylène allait reprendre le chemin du cinéma avec le tournage de “l'Ombre des autres” qui sent le projet avorté tellement il se fait attendre et repousser... que la rouquine préférée des français revient avec une toute nouvelle chanson “oui mais... non” la pochette du single personnellement je la trouve sublime : la pose, la police d'écriture et cette coupe de cheveux à la Leeloo (cf. Le 5e élément) un hommage clin-d'oeil à son ami Luc Besson.

    Ce premier single annonciateur d'un nouvel album d'ici la fin de l'année 2010/début 2011 est produit et composé par le producteur de Lady Gaga, RedOne. A savoir qu'un autre single a été annoncé, il s'agit d'un duo avec Line Renaud !!!!!!!!!!!!!!


    le single en écoute sur NRJ ici>>  http://www.nrj.fr/music-509/exclus-nrj-526/article/249927-mylene-farmer-ecoute-en-exclu-son-nouveau-single-.html

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  • OBK

     

     
     OBK est un groupe espagnol de musique électro-pop originaire de Barcelone. Fans de Depeche Mode, le nom du groupe est inspiré de la chanson "Oberkom" ; les deux protagonistes sont Jordi Sànchez et Miguel Arjona. Avec une dizaine d'albums à leur actif en bientôt 20 ans de carrière, ces artistes confirmés livrent au public un univers froid, synthétique et gothique au travers d'une musique qui est elle, festive et chaleureuse ; c'est sans doute ce paradoxe de deux monde qui explique leur succès depuis si longtemps.
     
    le site officiel :   www.obkmusic.net/
     
    Leur dernier opus en date "Ultimatum" est sorti en 2008 et le single qui en est extrait est une pure bombe électro-dance qui a cartonné dans tout les bons night-clubs : "Yo no me escondo" résonne comme le tube de l'été sur lequel tout le monde se trémousse, ce letmotiv reste gravé dans nos têtes, le genre de chanson qu'on entend partout en vacances (à l'hôtel, en discothèque, dans la rue, à la plage...) et qui nous laisse un souvenir impérissable durant le voyage de retour les vacances terminées.
     
    On a toutes et tous vécus cette sensation horrible de déchirement, ce coup de blues ou de cafard lorsqu'il s'agit de repartir, viennent à nous des images, des odeurs, des rencontres amicales, un amour de vacances... Et le plaisir intense et nostalgique, cette petite mort qui fait mal mais qui fait du bien à chaque écoute :
     
     
    Franck Schweitzer.
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     29/08/1958 - 25/06/2009...
    Aujourd'hui voilà un an jour pour jour que le roi de la pop nous a quitté, et pourtant il est plus que jamais présent dans les mémoires collectives et dans les coeurs : Michaël forever !
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    deux sites de référence :   http://www.lost-island.net/   et    http://www.lost-site.com/
     
     Alors que la saison 5 (2009) plongeait certains de nos héros aux origines du projet Dharma dans le milieu des années 70 et d'autres en dehors de l'île, cette 6e et ultime saison joue comme les saisons précédentes, sur deux tableaux, à savoir d'une part quand les disparus reviennent sur l'île à notre époque et doivent faire face à la mort du personnage-source principale de leur présence sur l'île- et dont le meurtre a été orchestré par la personnification du “monstre de fumée” ; et d'autre part celle-ci beaucoup plus spirituelle et néanmoins déroutante, une histoire alternative de tout nos héros, dont le vol Oceanic ne se serait jamais crashé sur l'île.

    Pour avoir vu toute la saison en streaming (vostfr) y compris le final, c'est très émouvant, on éprouve énormément de plaisir à retrouver certaines têtes connues des saisons passées mais même si l'on nous donne LA réponse à la question qui trotte dans nos têtes concernant les conséquences du crash, certains point noirs de l'intrigue ne sont pas dévoilés et c'est cela le plus frustrant. Sur le net les avis se déchirent, bon nombres de fans de la série hurlent au scandale, entre déceptions et frustrations, certains geeks extrèmes vont jusqu'à dire qu'ils ont perdus 6 années de leur vie à suivre une série culte dont la fin est plus que bâclée !!

    Alors que penser : Que ce choix de “fin bâclée” est tout a fait justifiée et part de la volonté propre des scénaristes ? Ou alors qu'il ne s'agit pas réellement d'une fin, mais d'une hypothèse finale et que c'est finalement le public lui-même qui tient les ficelles du mystère “lost”; à lui d'imaginer maintenant sa fin !
    Le labyrinthe que représente cette série offre d'autant de possibilitées des plus surprenantes, il y a quelques années est sorti “lost – le jeu de société” un jeu de stratégie et de réflexion, ce jeu dont vous êtes le héros et dont vous inventez le déroulement des évènement comme l'auteur de votre propre vie. Les lieux, personnages, époques ne sont que des succédanés ! On parlait aussi à un moment d'un long-métrage destiné au salles obscures le jour où la série-phare de TFI prendrait fin ; pourquoi pas imaginer maintenant un nouveau magazine, des minis-épisodes sur le web ou encore une bande dessinée : les déclinaisons sont multiples et l'univers autour de la série et ses personnages est si vaste.

    L'île des disparus n'en a pas finit avec nous, tant qu'il y aura des fans...

    Franck Schweitzer
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     n'ayant pas encore eu l'occasion d'aller le voir, je vous mets ici la critique (à mon sens, assez objective) de Melmot -pseudo d'une jeune homme qui officie sur le site horrorkult.com- concernant le remake du premier film issu des Freddy, de la saga "les griffes de la nuit"
     
    Franck Schweitzer
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    Un pull rayé vert et rouge, un feutre marron, un gant muni de lames: voici l'histoire d'une icône née il y a 26 ans de l'imagination de Wes Craven, suite à des faits divers survenus aux Etats-Unis dans lesquels quelques personnes seraient mortes dans leur sommeil, en plein cauchemar.  Les griffes de la nuit déboule dans nos salles en mars 85 et va rapidement déclencher une vague d'excitation. Récompensé par le Prix de la critique au Festival D'Avoriaz la même année, il devient rapidement culte, soigné par son interprète principal Robert Englund.
     
    Alors qu'en est-il de ce reboot imaginé et réalisé par Siamuel Bayer ? Le bonhomme, surtout connu pour être un génie du clip et de la pub (son fait d'arme reste «Smell like teen a spirit » de Nirvana ») saura t'il relever le défi de surprendre ? la réponse est non, et ce, définitivement.
    Je n'ai jamais été un grand fan de Freddy, je n'en ai pas honte, et j'assume ce que certains jusgeront comme impardonnable, voire irresponsable.
     
    Premier constat: Robert Englund est Freddy. Non pas que son successeur soit foncièrement mauvais, mais le choix de le rendre plus « dark » que l'original nuit à son charisme. D'ordinaire cynique, vulgaire et plutôt pervers, celui-ci a perdu son humour et se contente de charcuter de l'ado sans vraiment jouer avec ses proies. Il ne fait d'ailleurs que cela; ce n'est plus lui le héros du film, mais les adolescents, plongés dans un scénario faiblard et paradoxalement bien trop bavard.  Le cinéaste peine à réussir les transitions entre rêves et réalité qui faisaient la force de l'original. Expliquer le passé commun des jeunes et leurs parents, nous refourguer celui de Freddy alors jardinier dans une école maternelle, n'est que prétexte pour définir le devenir du boogeyman: un grand brûlé au maquillage trop réaliste mais quelque peu endormi. Exits les humeurs bondissantes, les jeux de mots graveleux: Jackie Earle Haley compose d'une voix caverneuse un Freddy bien trop propret et sans oxygène.
     
    Au niveau du casting, on regrettera le peu de consistance des personnages, abandonnés dans leur unique recherche de souvenirs, tus par leurs parents respectifs. Dommage, car les remplaçants ne se débrouillent pas si mal, noyés dans des scènes reprises à l'identique de l'original de 1984. On retrouve ainsi la scène de la chambre à coucher, Freddy sortant du mur, ou bien encore celle, cultissime, de la baignoire.  De l'hémoglobine ? pas tant que cela et vite oubliée. La formation initiale de Bayer en etant la cause: trop de soin à l'esthétique, trop de manières, trop de mouvements de caméras donnent à l'ensemble un côté clipesque mal structuré et sans saveur; ainsi, le côté « old school » de l'original est balayé d'un coup de griffes, très certainement volontaire, histoire de séduire un tout nouveau public.
     
    Alors oui, visuellement quelques scènes sont réussies (l'intro avec Kellan Lutz, le blond musculeux de « Twilight » est vraiment sympa), la volonté de bien faire semble évidente mais l'erreur principale est bien là et me taraude: ces griffes de la nuit ne font pas peur ! et ce n'est pas même quelque liberté prise par le cinéaste (Freddy n'est plus seulement un tueurs d'enfants mais également suggéré comme pédophile) qui réussira à donner de l'amertume à ce Freddy sans saveur. On en vient à regretter les maquillages faits maison, l'humour lourdingue de Robert, ainsi que la présence d'Heather et son brushing so 80's.
    « Dormir tue » était une formidable accroche commerciale. Espérons juste pour Baker que ce ne soit pas sa carrière qui soit flinguée ; et moi de me réconcilier avec l'original pour le coup; pas forcément devenu fan, mais rabiboché avec Craven.
     
     
    (c) Melmott
    Merci au site HORRORKULT.COM/
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