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Par luukee1 le 3 Septembre 2021 à 13:36
En voiture tout est possible me direz-vous ! Mon weekend en Touraine s'est achevé à une quarantaine de kilomètres au sud-ouest de Tours, dans un petit village Bréhémont où coule (encore) la Loire ; et plus au sud encore, je me suis arrêté devant le magnifique Château d'Ussé, celui-là même qui inspira Charles Perrault pour 'la Belle au Bois Dormant'
photos (c) Franck Schweitzer
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Par luukee1 le 3 Septembre 2021 à 11:19
Jardin du Musée des Beaux-Arts
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Jardins des Prébendes d'Oé
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Jardin Botanique
photos (c) Franck Schweitzer
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Par luukee1 le 2 Septembre 2021 à 21:21
Les premières traces du Compagnonnage remonteraient au Moyen Âge. Ce n’est qu’à partir de documents que l’on peut attester l’existence de groupements de jeunes ouvriers qui voyagent, s’entraident, pratiquent des rites en diverses circonstances et possèdent des attributs et un vocabulaire identitaires. La plupart des plus anciennes mentions de compagnons proviennent des archives judiciaires.
Le musée du Compagnonnage a ouvert ses portes en 1968, le jour de Pâques. On le doit à la persévérance de Roger Lecotté (1899-1991), conservateur à la Bibliothèque Nationale, spécialiste du folklore et du compagnonnage. La ville de Tours paraissait la mieux placée pour accueillir ce musée compte tenu de l’existence d’un musée antérieur. Ce musée municipal est aujourd’hui labellisé « musée de France ». Chaque année, il accueille environ 50 000 visiteurs.
L’actuel musée du Compagnonnage est en quelque sorte le prolongement d’un premier musée dénommé « musée compagnonnique », qui fut inauguré en septembre 1911. La ville de Tours comptait beaucoup de compagnons au début du XXe siècle et ils s’étaient regroupés en une « Alliance compagnonnique » pour pouvoir parler d’une seule voix aux pouvoirs publics.
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photos (c) Franck Schweitzer
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Par luukee1 le 2 Septembre 2021 à 18:40
L'ancienne église collégiale Saint-Martin de Tours fut vandalisée et transformée en écurie en 1793, puis démolie à la suite de l'effondrement des voûtes en 1797, seules deux tours étant conservées. La basilique actuelle, nettement plus modeste, a été construite entre 1886 et 1902 dans le style néo-byzantin par l'architecte Victor Laloux : C'est un bâtiment en calcaire, granite et marbre, couvert d'ardoises. L'édifice a été consacré comme basilique le 4 juillet 1925.
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Catholique romaine, elle est dédiée à saint Gatien, le premier évêque de Tours, elle est le siège de l'archidiocèse de Tours et la cathédrale métropolitaine de la province ecclésiastique de Tours. Elle a été classée monument historique par liste de 1862.
photos (c) Franck Schweitzer
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Par luukee1 le 2 Septembre 2021 à 18:27
la Bibliothèque Municipale
l'Hôtel de ville
le Palais de Justice
la Tour Charlemagne
l'architecture et les maisons en colombages de la Place Plumereau :
Successivement nommée carroi aux Chapeaux XIVe siècle, place Saint-Pierre-le-Puellier, place aux Fruits (1816), carroi Saint-Pierre, carroi des Quenouilles. À compter du 18 novembre 1888, elle prend le nom de place Plumereau, en l'honneur de Charles Plumereau (1818-1885), conseiller municipal de Tours qui lègue à la ville 3 000 francs.
La place couramment abrite aujourd'hui de nombreux bars et restaurants qui accueillent Tourangeaux – notamment, le soir, des étudiants – et touristes.
photos (c) Franck Schweitzer
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Par luukee1 le 2 Septembre 2021 à 17:13
Fin août 2021, me suis baladé en Touraine durant 3 jours. Voici les petits souvenirs que j'en ai rapporté, dans les post suivants ! Il y a moins de photos que d'habitude, et moins de commentaires aussi.
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Par luukee1 le 2 Septembre 2020 à 01:26
Propriété des comtes de Blois, puis de Sancerre, le château passe ensuite à la famille de Melun. Au xve siècle, les Anglais détruisent le manoir féodal. Le seigneur d'Angennes lance de grands travaux d'agrandissement et d'embellissement en 1574. Madeleine d'Angennes apporte le domaine en dot à son mari, qui fait construire le château actuel sur des plans de Vauban.
La famille de La Ferté-Senneterre conserve la seigneurie jusqu'à la Révolution : le château est confisqué et le marquis de La Ferté-Sénectère émigre.
La ville de La Loupe est alors érigée en canton. Du château, il reste un grand corps de logis, ainsi que son parc, que la commune a acquis en 1949
photos perso (c) Franck Schweitzer
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