Terrifiant ! De plus en plus choquant ! Dans les faits divers chaque jour en ouvrant le journal et en écoutant les infos je tombe des nues : Il n'y a plus aucune retenue dans le passage à l'acte de la simple incivilité au meurtre le plus sordide, je ne sais si c’est de la complaisance ou dans l’incompatibilité des lois et des tribunaux chargé des affaires tout magistrat sont à gauche et libertaires texte de loi non adapté réclusion à perpétuité non réelle au mieux 30 ans avec quelques années de sûreté ou de sursis pour bonne conduite et cetera. Notre pays va mal, on le sait et on ne fait rien ! Seul le RN semble détenir la solution (radicale) pour palier à cette violence sauvage, mais je préfèrerais personnellement que les décisions politiques soient prises en conséquence sur un projet politique, radical oui mais… sans le RN !

« saw » ; « hostel » ; « terrifier » La question de savoir si les films d'horreur influencent la violence réelle est complexe et a été sujet à de nombreux débats et recherches. Dans les trois films que je cite, l’image est crue, malsaine, perverse et gore au possible comme jamais le cinéma de genre n’a pu donner jusqu’àlors !

L'exposition répétée à des images violentes dans les films d'horreur pourrait réduire la sensibilité des gens à la violence. Cela pourrait, en théorie, diminuer l'impact émotionnel de la violence dans la vie réelle et potentiellement influencer les attitudes envers la violence.

Certaines études suggèrent que les médias violents peuvent encourager les comportements agressifs en particulier chez les jeunes. Cependant, il n'est pas clairement ou même scientifiquement établi que les films d'horreur aient un impact significatif ou direct en termes d'imitation de comportements violents. Le pas entre entre la fiction et la réalité est mince et pourtant les effets des films d'horreur peuvent varier considérablement en fonction de facteurs individuels comme la personnalité, les expériences passées et le contexte social.

Les recherches sur les effets des médias violents sur le comportement sont mixtes. Les films d'horreur, en tant que cinéma de genre, sont souvent moins étudiés en comparaison avec d'autres formes de médias violents.

En résumé, il n'existe pas de preuve solide et directe que les films d'horreur aient un impact significatif sur la violence réelle. Les effets possibles sont souvent plus subtils et varient en fonction de nombreux facteurs individuels et contextuels.

Franck Schweitzer