• Supernatural and co

    Sam et Dean Winchester sont frères et sillonnent les États-Unis à bord d'une Chevrolet Impala, enquêtent sur des phénomènes paranormaux issus des mythes et légendes urbaines mais aussi des monstres tels que les fantômes, des démons…

     

    C'est sans doute l'une des séries que je vais regretter pendant longtemps avec Lost et Desperate Housewives (dans un tout autre genre évidemment). Je n'ai rien à critiquer, tout est bon dans Supernatural : les personnages secondaires et mêmes les personnages de passage sont très convaincants, le jeu d'acteurs est sensas ; les décors, les effets spéciaux ; le rapport fraternel viril -parfois ambigüe mais toujours drôle- qu'entretiennent les deux frangins est très juste. Quant au final (pour rappel, le tournage de la dernière saison s'était interrompu à 5 épisodes de la fin, à cause de la pandémie de covid) il est à la hauteur de ce que les fans, je pense, attendaient de leur série fétiche. En bonus, un épisode avec une fin alternative, histoire de régaler la fanzone qui aurait peut-être voulue que ça finisse autrement.

     

    Genre : horreur, fantastique, drame ; 15 saisons / 327 épisodes de 42 min ; année de diffusion 2005 à 2020 : pays d'origine USA ; avec Jared Padalecki, Jensen Ackles, Misha Collins...

     

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    Lassé d'être le « Seigneur des Enfers », Lucifer Morningstar abandonne son royaume et arrive à Los Angeles où il est propriétaire d'une boîte de nuit appelée « Le Lux ». Son chemin croise celui d'une policière nommée Chloe Decker qui résiste à son don qui est de contraindre les gens à révéler leurs désirs les plus profonds...

     

    Ce que j'ai aimé dans cette série dès le départ c'est le nombre limité de personnages et leurs rôles bien définis. En apparence une jeune maman-flic qui bosse avec son ex et se voit attribuer les services d'un bellâtre bcbg à l'humour très cynique dont elle ignore tout de sa véritable identité. J'aurais pu arrêter de regarder cette série dont la trame très années 90 n'apporte rien de nouveau sous le soleil... de Satan (sic!) En apparence j'ai dit plus haut ; car au fil des saisons de nouveaux personnages viennent complexifier l'histoire et les relations, et la série offre quelques beaux moments d'effets spéciaux, de la baston d'anthologie et même pas mal de références mythologiques et théologiques (tout comme pour « supernatural » d'ailleurs). Chaque cliffhanger de fin de saison donne parfois dans le cliché mais je peux pas m'empêcher d'être excité à l'idée de voir la suite.

     

    Genre : fantastique, comédie policière ; 5 saisons / 75 épisodes (toujours en production) de 42 à 60min ; année 2016 ; pays d'origine USA ; avec Tom Ellis, Lauren German, Rachael Harris...

     

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    Cinq ans après les derniers évènements de Heroes, un attentat fait de nombreuses victimes à Odessa, au Texas. Quentin Frady, un théoricien, veut sauver sa sœur accusée de faire partie des terroristes. Pour cela, il mettra tout en œuvre pour retrouver la seule personne qui aura les réponses à toutes ses questions, Noah Bennet.

     

    Pour être tout à fait honnête je préfère de loin cette série à l'originale « heroes » car en 13 épisodes j'ai trouvé que l'intrigue se tenait du début à la fin, malgré les retours en arrière et en avant où l'on pourrait s'y perdre. Justement rythmé je le répète, un Noah Bennet gentil, surprenant dans le rôle du père à la recherche de sa fille. 13 épisodes qui m'ont même fait comprendre des histoires de la série originelle que j'avais lâché dès la saison 2 parce que trop complexe, trop de personnages, trop touffue. Ici j'ai aussi et surtout aimé la fin qui laisse supposer que ce n'est PAS... la fin, même si une reprise est probable, nous sommes en mars 2021 à l'heure où j'écris.. patience ! Peut-être qu'un jour qui sait ?

     

    Genre fantastique, drame ; 13 épisodes de 42 min ; année de diffusion 2015-2016 ; pays d'origine USA ; avec Jake Coleman, Kiki Sukezane, Rya Kihlstedt...

     

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    Quentin Coldwater est un jeune adulte rêveur qui est depuis son enfance, attiré par la magie. Il se réfugie dans la lecture de son roman préféré Fillory, lorsqu'il est admis à Brakebills, une université protégée du reste du monde qui forme en secret de futurs magiciens, il va, avec l'aide de ses nouveaux amis Alice, Penny, Margo et Elliot, entrer dans une histoire qui le dépasse.

     

    J'ai un avis partagé sur cette série pour deux raisons ; le fait qu'il y ait autant d'allusions au sexe et aux revendications lgbt dans une série dite fantastique, m'a gâché le plaisir à presque tout les niveaux. Ajouté à cela le côté high school musical où les protagonistes chantent et dansent dès qu'ils le peuvent, au-delà du côté surfait, çà n'apporte rien à l'intrigue et au contraire donne à l'ensemble déjà très lisse, une trame dramatique pas crédible du tout ; deuxième chose : Du fait qu'ils soient tous magiciens, ils ne se soucient pas d'être blessés ou de mourir vu que leurs camarades trouvent toujours de quoi les ramener à la vie (sauf à la fin de la saison 4 pour un personnage) à coups de potions et autres charmes au vocabulaire alambiqué. J'aurais préféré voir l'histoire évoluer et « faire avec » les décès. Quelqu'un meurt, OK que fait-on et comment on avance ; mais non ! Pour toutes ces raisons, « the magicians » - qui, je le répète m'avait beaucoup plus dès le début - est déjà sorti de ma tête sitôt le 65e épisode terminé.

     

    Genre : quête d'aventures fantastiques, comédie ; 5 saisons / 65 épisodes de 42min ; année 2015 à 2020 ; pays d'origine USA ; avec Jason Ralph, Olivia T.Dudley, Hale Appelman...

     

     

    Franck Schweitzer

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