billets d'humeur personnels
L'histoire se déroule à la fin du xxe siècle dans cet univers post-apocalyptique, où les survivants sont d'humbles villageois s'efforçant de survivre, persécutés par des bandits regroupés en gangs ou des motards qui s'adonnent au pillage et au chaos.
Cependant, un expert en arts martiaux nommé Kenshiro, reconnaissable aux sept cicatrices qu'il porte sur le torse, a été choisi pour devenir le successeur d'une légendaire école d'art martial, dont la technique consiste à presser les points vitaux de l'adversaire pour le faire exploser. Accompagné dans son périple par deux jeunes enfants, Bart et Lynn, Ken croisera la route d’un grand nombre de voyous et d’assassins, devra affronter ses frères adoptifs et se mesurera à cinq maîtres de l'école concurrente de la sienne.
Et la violence dans tout ça ?
Le prétexte du CSA et des détracteurs de Dorothée furent servis ; oui Ken est un dessin animé violent et gore mais notons au passage que tout à été fait pour édulcorer le programme à savoir d’abord que les scènes où les « méchants » explosent, l’image est noircie pour ne laisser qu’une silhouette ; ensuite les comédiens-doubleurs se sont fait violence en proposant des répliques aussi absurdes que ridicules, jusqu’à proposer des situations grotesques très loin de l’œuvre originelle.
Violence aussi dans le mot argotique utilisé de nos jours « ken » à l’envers signifierait « niquer » (> nek, niké) et l’on imagine la transcription à l’oral lorsque Ken dit à ses ennemis avant de les tuer : « je vais te niquer ta mèèèèèèère, tu vas mouriiiiiiiiiiir » OK je délire grave là, mais c’est drôle !