• GothiK - architecture Victorienne

     

     

    Epoque : milieu et fin du XIXe siècle en parallèle avec le règne de la Reine Victoria (1837-1901) 

    styles divers : néo-renaissance ; second Empire...

    Influences : Moyen-Orient et Asie 

    Exemple d’architectures victoriennes : Palais de Westminster ; Mairie de Manchester ; château de Balmoral… 

    En Écosse, l’architecte Alexander Thomson, qui pratiquait à Glasgow, fut un pionnier de l’utilisation de la fonte et de l’acier pour les bâtiments commerciaux, mêlant la conventionnalité néo-classique aux thèmes égyptiens et orientaux pour produire de nombreuses structures originales. D’autres architectes écossais notables de cette période sont Archibald Simpson et Alexander Marshall Mackenzie dont le travail stylistiquement varié peut être vu dans l’architecture  

    Au 18ème siècle, quelques architectes anglais ont émigré aux colonies, mais pendant que l’Empire britannique s’est établi fermement au cours du 19ème siècle, beaucoup d’architectes ont émigré au début de leurs carrières. Certains ont choisi les États-Unis et d’autres sont allés au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Ainsi, l’influence de l’architecture anglaise s’est répandue à travers le monde. 

     

    Caractéristiques extérieures > 

    Un bâtiment victorien est reconnaissable à l’extérieur par ses toits fortement inclinés, par ses façades en brique unie ou peinte de couleur et par ses pignons ornés.  Par ailleurs, une construction comportant un garde-corps en fer peint, des balcons, des épis de toit en forme et plusieurs étages : Les autres caractéristiques extérieures sont : 

    • Les baies vitrées inclinées ; 
    • Tours et tourelles octogonales ou rondes ; 
    • Les porches enveloppant et généreux ; 
    • L’asymétrie, etc 

     

    Caractéristiques intérieures > 

    • Planchers de bois franc recouverts de tapis orientaux ; 
    • Grands escaliers ; 
    • Vitraux ; 
    • Cheminées décoratives, etc

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    retrancrit par Franck Schweitzer depuis les sites...

    © hisour   © steampunk-boutique 

     

    GothiK - architecture Victorienne

     

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    voilà qui termine cette partie concernant l'univers Goth (origines, littérature, musique...) On se retrouve très vite en février prochain, du 12 au 17 plus précisément, avec quelques portraits d'illustrateurs au talent certain, dont le trait oscille entre surréalisme et mélancolie

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  • GothiK - le roman gothique

     

     

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  • GothiK - définitions et cinéma de genre

     

    Ma définition perso de l’horreur se joue d’emblée en différence avec l’Epouvante :

    L’HORREUR concerne en gros les situations horrifiques dans l’histoire, le sursaut, l’effroi, la terreur (jumpscare en anglais), le gros plan sur un visage « Rosemary’s baby », « scream », « Damien la malédiction » par exemple ;

     

    L’EPOUVANTE concerne tout le reste j’ai envie de dire : l’hémoglobine, les viscères et plus généralement les monstres et créatures surnaturelles « evil dead », « terrifier », « saw » par exemple ;

    Mais…

    La notion peut sembler subjective et son classement en catégories est parfois plus délicat qu'il n'y paraît. En effet, des œuvres telles que King Kong (1933) ou Godzilla (1954) sont considérées aujourd'hui comme des films fantastiques. Avec l'évolution des mentalités, la perception de l'horreur change au fil des générations. Au-delà de cette considération, de nombreux films rattachés à l'horreur sont assimilés au cinéma fantastique. Le fantastique et l'horreur sont souvent indissociables pour les francophones, les anglophones utilisant quant à eux, uniquement le terme horror pour qualifier le genre. 

    Pour Christian Oddos, « le but essentiel des films d'horreur est de transmettre une horreur visuelle et sordide ou encore d'infliger au spectateur, par l'intermédiaire d'un personnage, une horreur intellectuelle et morale ». Le réalisateur Michael Armstrong distingue plusieurs catégories d'ingrédients servant de base aux scénarios de tous les films d'horreur : 

    1.     les morts-vivants (vampireszombies…) ; 

    2.     l'occulte (la sorcellerie, les fantômes et les démons) ; 

    3.     les tueurs psychopathes ou déséquilibrés ; 

    4.     les métamorphes (loups-garous…)… 

     

    Dans son essai Anatomie de l'horreurStephen King considère que l'horreur échappe à toute tentative de rationalisation, mais distingue trois niveaux d'émotions qu'elle vise à provoquer : 

    ·        la terreur, où tout est suggéré et laissé au travail de l'imagination ;

    ·        l'horreur proprement dite, qui entraîne une réaction viscérale en présentant quelque chose de monstrueux ou d'anormal ;

    ·        la révulsion, qui a pour but de provoquer un choc en suscitant le dégoût8.

     

    Pour Martine Roberge, la peur, qu'elle soit provoquée par la suggestion ou par la révélation à l'écran, est toujours au centre du genre, elle est « le moteur du cinéma d'horreur » et « il s'agit avant tout de créer un climat d'inquiétude ». 

    GothiK - définitions et cinéma de genre

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    L'histoire de l'horreur au cinéma commence dès la fin du xixe siècle, mais ce n'est qu'avec le cinéma expressionniste allemand des années 1930, que le genre prend vraiment son essor. Le fantastique gothique cède la place la décennie suivante à des œuvres plus ancrées dans une réalité contemporaine, tels PsychoseLa Nuit des morts-vivants et Rosemary's Baby qui, conjuguées avec l'arrivée du gore, révolutionnent le genre.

     

    Abordé par tous les arts, le thème de l'horreur ou de l'épouvante n'échappe pas à l'art naissant qu'est le cinématographe. L'influence de l'horreur cinématographique se fait sentir dès ses débuts. Georges Méliès est un pionnier du genre, avec des films tels que Le Manoir du diable (1896), qui peut être considéré comme le premier film d'horreur. La vogue du public pour ce genre est véritablement lancée grâce, principalement, au Cabinet du docteur Caligari (1920), de Robert Wiene, et Nosferatu le vampire (1922), de Friedrich W.Murnau, probablement l'un des films les plus importants.

     ... et la censure ?

    Le genre est depuis ses débuts une cible privilégiée de la censure. Aux États-Unis, le code Hays est appliqué du début des années 1930 jusqu'en 1966. Il insiste sur la mise en avant des valeurs morales et interdit toute représentation prolongée d'actes de violence comme les meurtres et les mauvais traitements. Haha la bonne blague !

     

    GothiK - définitions et cinéma de genre

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  • GothiK - Bram STOKER

     

    GothiK - Bram STOKER

     

    GothiK - Bram STOKER

     

    >> plus de détails sur la légende du célèbre vampire et de la Transylvanie dans l'article que j'ai publié le 6 mars 2021 dans cette rubrique 'mythos' intitulé "Dracula des Carpates"

    rendez-vous dans le menu de droite 'rechercher'... votre bonheur

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  • GothiK : the Rocky Horror Picture Show

     

     Dans le style déjanté, exhibitionniste et politiquement incorrect, le cinéma n’est pas en reste ; en 1975 sort dans les salles une œuvre pas seulement gothique mais un chef-d’œuvre qui fait date depuis, pour son côté lunaire et transgressif (transformisme, homosexualité) : THE ROCKY HORROR PICTURE SHOW ! Le film n'a eu que peu de succès, il fut donc redistribué à New York aux séances de minuit afin d'être rentabilisé. Petit à petit, un noyau dur de fans s'établit, connaissant le film absolument par cœur. Au fil des séances, des lignes de dialogues alternatives ont été imaginées pour être intercalées entre les répliques des personnages, leur donnant un sens complètement différent. Ainsi avec le temps cette interactivité évolua, certains fans commencèrent à venir grimés comme les personnages.

    Les références et clins d’œil dans le RHPS sont extrêmement nombreux, allant de « la famille Addams », « Frankenstein »… et inspira aussi d’autres productions quelques années plus tard comme « Beetlejuice » ou encore « ghosts » de Michael Jackson… 

      

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